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14/03/2014

IL SUFFIT PARFOIS D'UNE LETTRE OU PLUS ...

 

Aujourd'hui, je trempe mon nuien comme je pneu en ne faisant bien du bout je maîlle aux borneilles, je me ttrague loudoureusement, je naudeguabe dans la saison, ça paraît riducile mais c'est gomme ça, tout va de guiguette à la va-comme-j'te-tousse, il a fusil que Muriel s'en bêle pour que ça banque de moirer brave ou tutti cantique, ya des fours où le bonde va si mâle et qu'on se met à feindre peutisement pour un oui pour un nom je vous fais pas un bessin, ça lavait pourtant bien bétuder au rébeil avec de frais câlins du patin me foutant une crique du diable à pendre loujax le pieu Van qui en connait un crayon en la manière, le p'tit déneujer comac avec du pus d'aronge pio, des céraèles et flacons d'ovianes et maisins de cinrothes, des donrelles de vain barré vrillé, un frais vestin du patin comme à l'hetôl, j'en haie ripres feux dois à m'en pêcher les babouines, on est renourter au plamurd et berelote carc carc le bied pleu l'axeste le rapadis le narvina qui fait tonmer Muriel au flapond ... C'est èpras que cout à féroi, j'ai pélou mon sub taré le motré, arriévi en terard au rubeau et que le pontra m'a sim à la potre mes dansit ça teup plus ruder souv naez aunuc sens (ha ah) de l'axectutide et j'en ai ramme vrague valoi, rivé vous êtes rivé Jôreme leugue le cem tout goure de locère...et je suis trenré chez roi la euque casse débolarisé en me sandit que décédiment c'était vrenmait nue néjoure de dreme... ya des menmots comme ça à se guinfler mais ça ari miuex medain, c'est joutours ce qu'on tid dans ces sac-àl, av voirsa !.

 

© Jacques Chesnel

21:55 Publié dans Mes textes | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

le desperition d'une lettre et tout est sens dessus-dessous, les jupes et les moulins...

Écrit par : Dominique Hasselmann | 16/03/2014

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