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21/06/2012

DÉFORMATIONS / DÉSINFORMATIONS

                          

C’est quand il m’a mis son pétard sous le nez en braillant labour sous l’avis que j’ai compris qu’il avait de la fuite dans les idées oh en toute méconnaissance de Causses et reconnaissance d’Odette, ce qui me mit en pétard avec l’envie furieuse d’en fumer un ; il ne me restait plus qu’à me tirer une traite sur le futur ou au mieux faire des pleins des sens sur la comète de râler un bon coût : je m’étais fourrer dans de sales bras et ne voyait pas comment m’en sortir autrement qu’en serrant les points et marquer des poings, pas si évidant. Là-dessus j’émets un pet de traverse avant de démordre la poussière, il en profiterole pour me talquer à ride abattue avant de défaire dans la dentelle, nous y voilà. Avec sa soif du mâle, il me mit l’épée dans les riens, il me fallait donc dépendre mon pied avant de prendre le large dans la langueur, ce qui je fis sans trader et avec prêt si pétition, ça roucoule de source ; il devait y avoir du détartrage à l’amulette suédoise. Des gages, classe-toi, lui intime-je sans beaucoup d’illusions car il n’obtempéra pas. J’essaie alors de détricoter des gambettes afin de prendre la foudre d’escampépette mais queue d’ail je fais du surplace dans la déroute c’est pire que la bataille des waters à l’eau en je sais plus combien damnés, par compte je ne sais pas comment me dépatouiller de ce qui à propos, envoyer un message subit minable ? oui mais à qui dame ?. Il me faudrait troquer le trac contre un truc du tac au tac sans tics trop de tocs mais quid ?, j’ai peur de me faire mouler dans la narine avant de me faire têter le nez et que ça me pende au bout dudit, j’ai peur aussi d’en mater une comme un rat ou d’en rater une comme un mât qu’on se farcit dans la moire entre le ramage, je suis un peu comme mon copain Jeff Roy qui se plaint d’être sempiternellement tant pire un candescent remontant malgré son cas rance de nippes à des coites ou comme Michel Aufray avec son traité d’athées au logis sans abris ni brique à braque pour branque. Maintenant (comme disait Madame de) j’irais bien faire un détour au bord de l’amer, dévider de boire la tasse à mariée haute pasque j’aime pas ça l’eau et que j’ai les chococottes de mourir noyer comme une vieille chochotte emperlousée en rade de Brest et en reste aussi pour un voyage au bout de l’envers façon Marlo Brandon.

 

(Ecrit vite fait en ce jour de la pelle du 18 juin 2012)

 

©  Jacques Chesnel

22:41 Publié dans Mes textes | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Bon sang, j'en ai la tête qui tourne... Stop, c'est assez, plus de calembours bons ! Non, encore un ? Enfin...

Vous savez quoi ? Vous êtes le vampire du jeu de mots.

Stricto sangsue, of course.

Écrit par : Clopine Trouillefou | 26/06/2012

merci Clopine ; êtes-vous allée faire un tour "Dans la cabine" ?

Écrit par : Jacques Chesnel | 26/06/2012

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